Où observer ?

  Réponse : partout, et particulièrement ici (source, Portraits d'oiseaux guyanais):

1 - La réserve naturelle de l'Amana et ses environs 3 - La piste de la montagne de Fer 4 - La crique Acarouany et son affluent, la crique Sainte-Anne 5 - Angoulême 6 - Le marais de Yiyi 7 - La piste de Saint-élie 8 - La piste de la savane de Trou Poissons 9 - L'estuaire du Sinnamary 10 - La piste Plomb 11 - La crique Malmanoury 12 - La montagne des Singes 13 - La route de Guatemala 14 - L'estuaire de la crique Macouria 15 - Les pistes Quesnel et Risquetout 16 - Les rivières des Cascades, de Tonnégrande et de Montsinéry 17 - Le chemin du bagne des Annamites 18 - Le littoral de l'Ile de Cayenne 19 - Le sentier de l'habitation Vidal 20 - Le mont Mahury 21 - La réserve naturelle nationale du mont Grand Matoury 22 - La crique Gabrielle 23 - La rivière de Kaw, réserve naturelle des marais de Kaw-Roura 24 - La route de la montagne de Kaw 25 - Le sentier de la montagne Favard 26 - Le sentier de la réserve naturelle régionale Trésor 27 - La piste de Tibourou 28 - La crique Kourouaï 29 - Le camp de l'Arataï dans la réserve des Nouragues 30 - Les sentiers pédestres de Saül

carte observation des oiseaux en guyane

Sur le terrain

Où que vous soyez en Guyane, afin de bénéficier d’une (ou plusieurs) expérience(s) agréable(s) et pour longtemps, veillez à retenir certaines de nos recommandations.


  • Respect de l’environnement :

La Guyane est pourvue d'une nature généreuse et d'une remarquable biodiversité. Plus de 730 espèces d'oiseaux (et la liste s'allonge chaque année) peuplent notre région, mais les milieux naturels sont fragiles. Il est donc nécessaire d'adopter une attitude responsable, tel que, veiller à ne pas laisser ses déchets derrière soi, à être discret pour déranger au moins possible la faune qui vous entoure, utiliser sa machette de façon raisonnée (seulement en cas de besoin), limiter au maximum, voire s'interdire, les prélèvements végétaux et animaux et respecter la législation en vigueur.


  • Votre équipement :

En ce qui concerne les vêtements et chaussures, il est préférable d'opter pour des chaussures de marche, des chemises en coton à manche longue et un pantalon lui aussi en coton. Prévoir un vêtement de pluie à portée de main. Pour se protéger de la chaleur et du soleil, de la crème solaire, un couvre-chef (pour les plus sensibles), ainsi qu’une bouteille d’eau, sont nécessaire. Une lotion anti-moustique peut aussi être utile en certains endroits. Pour finir n’oubliez pas votre paire de jumelles, indispensables pour vos observations, et pourquoi pas, une longue-vue, si vous êtes en voiture, car l’outil est  particulièrement encombrant.


  • Quelques précautions :

Au-delà des effrayantes images d'Epinal d'un autre temps, quelques rappels élémentaires de prudence s'imposent. La grande majorité des serpents de Guyane, est parfaitement inoffensive. Seules 8 espèces sont considérées comme venimeuses et dangereuses, et 12 capables d'infliger une morsure potentiellement fatale. Souvent, vous ne verrez pas l’animal, car il se sera enfui ou s'immobiliser à votre passage. S’il vous arrive d’en apercevoir un, le mieux est de lui laisser le champ libre pour qu'il puisse se sauver.

 

Les principaux dangers ne viennent pas des animaux, mais du risque de se perdre et de la chute d'une branche (volis) ou d'un arbre (chablis). Pour ces raisons, ne quittez pas les layons et faites attention lorsque vous devez contourner un chablis ou vous éloigner pour des besoins physiologiques. Par ailleurs, à votre départ, avertissez votre entourage de votre trajet et de l'heure ou de la date prévue de votre retour. La nuit tombe entre 18h30 et 19h00 toute l'année. Prévoyez toujours le délai nécessaire pour rentrer avant la nuit noire et munissez-vous d'une montre et d'une lampe électrique. Enfin, si vous n'êtes pas un habitué de la forêt guyanaise, utilisez les services d'un guide professionnel ou d'une personne compétente.